
07 novembre 2007
30 octobre 2007
14 octobre 2007
05 octobre 2007
27 septembre 2007
26 septembre 2007
Popo...
Il va y avoir du spooort !
retrouvez Les Sujets Qui Fâchent en concert :
- le 10 octobre à 20h au pub "le Dockyard" (nouveau bar au bout du hangar à bananes)
- le 11 octobre à 20h30 au café de l'Ile
- le 19 octobre à 20h au el Poquito
- le 25 octobre à 19h au Live Bar
- le 26 octobre à 20h au Gimmick
- le 23 novembre à 22h à l'escale Bleu marine (Rezé) dans le cadre du festival "cultures bars-bars"
- le 6 décembre à 20h au l'art scène
- le 7 décembre à 22h au café du centre à St marc sur mer
- le 13 décembre à 20h à la scène Michelet
- le 14 décembre à 20h au violon dingue
- le 16 février à 21h à l'attribut
- le 29 septembre à Jans avec un invité spécial (fest-noz avec hamon martin, Kelien, tatard, chant de choux...)
- le 5 octobre à 20h au bar "le Sulky" avec Gars Blain et Claire Leyzour
- le 9 février à l'Olympic dans le cadre de la Naoned Breizh Fever
- le 1e mars pour un évènement exceptionnel... mais chhht !
17 septembre 2007
La fin du récit
Les dernieres étapes ...
19 : Varsovie – Berlin
Fatigué du stop, et effrayé par le rapport du temps qu'il me reste face à l'état des routes polonaises je décide de prendre le train pour Berlin. Un voyage bien monotone comparé au stop, même en compagnie de trois sympathiques jeunes allemandes.
Arrivé à Berlin je retourne chez Karina, mon hôte officiel pour remédier à la frustration de ne pas avoir pu discuter la dernière fois, et nous passons la soirée à parler de tout et de rien : la vie, l'amour, la vie à Berlin, la musique électronique, et le reste... Et je m'endors heureux d'avoir pu satisfaire ma boulimie de rencontres.
20 : Berlin – Francfort
Après avoir cherché longtemps le point de départ idéal c'est parti pour de l'autoroute à grande vitesse ! 160 km/h de moyenne, avec des pointes à 190, les autoroutes allemandes c'est le pied ! Je vise Strasbourg pour le soir, ou m'attendent mon papa et ma grand-mère, mais suis contraint de m'arreter à Francfort car le dernier chauffeur de la journée me dépose loin de l'autoroute et d'une station essence, dans un bled de banlieue.
Particularité de l'Allemagne, c'est un pays qui contient deux villes avec le même nom : Francfort. On est donc obligé de préciser à chaque fois sur quelle rivière est posé le francfort dont on parle : le Main ou l'Oder. Dans l'histoire je suis à Frankfürt am main.
Je prends donc le métro qui me dépose en centre ville de Francfort (am main). Comme il est tard, je renonce à appeler hospitalityclub, et j'erre dans la ville au hasard en me rappelant un commentaire de Kinga sur son compagnon Chopin « world is his home » et je me sens libre et sans inquiétudes au milieu des gratte-ciels.
A la recherche d'un toit, je me dirige vers un pub irlandais, mais malheureusement celui-ci n'en a que l'apparence et pas l'esprit. Impossible de trouver ici de quoi dormir. N'ayant pas trouvé de coin tranquille ni de gentille serveuse polonaise comme à Kässel, je me dirige, résigné, vers l'auberge de Jeunesse, où je passe la nuit.
21 : Francfort – Strasbourg
En train sans histoires puis je passe quelques jours chez ma grand-mère strasbourgeoise, avant de me faire raccompagner à Nantes par mon cher papa.
06 septembre 2007
L'étape du jour :
18 : Grajewo – Varsovie
Après un petit déjeuner copieux et un début de journée optimiste sur le sort de l'humanité, je lève le pouce vers Varsovie. J'y attéris dans l'après-midi après un voyage sans histoire avec des chauffeurs polonais ne parlant ni anglais ni allemand.Une fois arrivé là bas, première priorité : trouver un endroit où dormir. Je téléphone donc à plusieurs membres d'hospitalityclub, mais toute la jeunesse de Varsovie semble être partie en vacances pour quelques jours en dehors de la ville ! D'un côté c'est compréhensible, il fait beau, c'est l'été et la ville est pleine de touristes. Dépité, je prépare une pancarte pour aller à Prague, mais il est trop tard et je suis mal placé. Je me résigne donc à passer la nuit seul dans ma tente dans un endroit désert, et me dirige à pied vers le bord de la ville pour en trouver un.
Après plus d'une heure et demie de marche le long d'une avenue passante, je reçois un texto d'une fille d'hospitalityclub « hello, did you find an accomodation for tonight ? if no I can get you something ». Sauvé ! Je prends le tram dans l'autre sens, qui refait mon heure et demie de marche en un quart d'heure et je fonce chez la coloc de la charmante jeune fille. « Jurominska 3, bus 127 » étant la seule adresse qu'elle m'avait fourni.
En résumé de la situation, une jeune fille qui ne me connait ni d'Eve ni d'Adam, avec qui j'ai parlé simplement vingt secondes au téléphone, m'ouvre la porte de son appartement dans lequel elle n'est même pas là ce soir et me prète son lit. Rénata, sa colocataire gentille mais timide m'accueille dans ce vaste ensemble soviétique qu'est la Jurominska. Nous avons quelques problèmes à communiquer mais le dictionnaire anglo-polonais nous est d'un grand secours et nous passons une agréable soirée.
04 septembre 2007
17 : Marijampolé – Grajewo
De retour sur la via Baltica, j'attends trois heures sous le soleil qu'un camion s'arrête pour m'emmener à Vilnius ou en Estonie mais rien ne vient. Deux molosses dans une ferme avoisinnante aboient et courent vers moi, on est à la moitié du voyage car je dois être le 26 à Nantes et j'ai peur d'être en retard. Hop, traversée de la route et commencement du retour ! Direction : Varsovie.
Le seul chauffeur de la journée est Jarek, un sympathique routier polonais malheureusement monolingue, ce qui ne facilite pas nos échanges. Il va jusqu'à Grajewo en Pologne, juste sur la route de Varsovie. La difficulté de communication ne nous empèche absolument pas de discuter de tout et j'apprends qu'il a un fils de mon age, et deux filles, et qu'il est fan de Formule 1. Quand il veut me dire quelque chose de trop compliqué pour le langage des gestes il téléphone à son fils qui me traduit ensuite en anglais, je fais donc ainsi la connaissance de Karol.
Le soir il est obligé de s'arreter de 18 à 22h sur une aire d'autoroute. Les routes polonaises sont tellement étroites que les camions sont interdits de circulation à certaines heures pour ne pas bloquer le passage aux voitures. Il m'offre le repas pendant que je tombe amoureux de la serveuse et tente sans succès d'obtenir de numeros de Grajewosiens accueillants auprès de mes amis connectés à internet. Après l'échec de toutes mes tentatives, c'est Karol qui me permet de me connecter à hospitalityclub.org et qui m'envoie les numeros de quatre hôtes. Après coups de fils, aucun n'est disponible ce soir.
Arrivés à Grajewo, Jarek pris de pitié, m'accompagne à l'hôtel, paye pour moi et parlemente avec la tenancière pour que je sois bien reçu. Le lendemain matin elle m'apporte un petit déjeuner copieux, une bouteille d'eau et de l'argent pour le voyage !
Peut-on encore parler de chance ?
03 septembre 2007
16 : Gizycko – Marijampolé
C'est après trois heures et quatre pannes sur une route de Mazurie dans un camion dont le chauffeur ne parlait que polonais ou russe que j'arrive à Ełk (Elk), d'où je repars vers l'est et la frontière. Et c'est dans un camion encore moins bien entretenu dont le premier chauffeur parlait mal anglais et le second mal allemand que je passe la frontière Lituanienne.
Vilius
(photo officielle trouvée sur www.zvaigzde.lt)
Arrivé en banlieue de Marijampolé je tends mon panneau vers Vilnius après être tombé amoureux de ma première lituanienne vendeuse de Kebabs, mais il est trop tard et la route va trop vite pour que je sois pris. Un coup de fil à mon renfort logistique Guillaume me permet de trouver rapidement un hôte pour la soirée : Vilius (cf. la rubrique des portraits un peu plus loin).
Nous passons une partie de la soirée à nous chercher, une autre à jouer de la musique puis partons avec un de ses amis dans le centre ville à la recherche de filles. C'est jeudi soir donc la recherche ne porte que peu de fruits mais enfin dans un club semi deserté nous rencontrons trois jeunes et jolies filles que mes amis d'un soir entreprennent de draguer activement. Après plusieurs heures de parlementations et quelques matchs de air hockey, nous rentrons sans elles à la maison. Jacques Brel me chante Knoke-le-Zoute tango.
01 septembre 2007
J'ai retrouvé mon gourou !
Le vrai, le seul et l'unique. Maîîîîîître !
sinon la suite des aventures de tintin en lituanie :
15 : Gdansk – Gizycko
Mais comme il faut bien une fin à tout, je repars vers l'est la tête pleine de rêves et le coeur plein. La découverte du réseau de bus de Gdansk me laisse perplexe : Quelques fiches horaires décrivent les trajets des bus 112, 166, 115, 208 et la majorité des bus qui passent ont des numeros fantaisistes comme le 306, 48, enfin n'importe quel numero tant qu'il n'est pas inscrit sur l'arrêt de bus. J'attends donc une heure et demie mon cher 112 qui était sensé passer chaque demie heure...
Une fois cette difficulté surmontée, je reprends la route vers l'est et me dirige vers la Lituanie en longeant par le sud le petit bout de Russie qui traîne là sans trop savoir pourquoi. Le paysage devient verdoyant, champêtre, les collines exposent leurs rondeurs herbues et les tracteurs lents bloquent l'autoroute deux fois une voie. La Mazurie, - mère patrie de la Mazurka ? - m'émerveille. Connue aussi sous le nom de « région des mille lacs » c'est une succession de collines, de lacs, de bois, le tout sous un soleil pas trop fort. Peuplé de polonaises en maillot de bain... Un de ces jours j'y retournerai !
Pawel le dernier chauffeur de la journée, m'invite à passer la soirée chez lui, ce que j'accepte avec grand plaisir. Au bord d'un lac nous mangeons une pizza et buvons quelques bières dans un Klub Jazzow en devisant sur l'amour, les filles, la politique, la jeunesse polonaise et sa mère.
31 août 2007
12 : Kassel – Berlin
Après mon premier petit déjeuner polonais composé de tartines de charcuteries et de fromage (qui a dit choc culturel ?) et des adieux chaleureux, je reprends la route vers Berlin. Nous sommes pris dans un bouchon juste au moment de passer l'ancienne frontière de l'allemagne de l'est. Il y a encore le poste de douane et le mirador, laissés la pour le souvenir. On passe la célèbre « derniere station avant l'allemagne de l'est » . Justement aujourd'hui, le gouvernement a retrouvé des documents attestant que les douaniers de l'époque communiste avaient reçu l'ordre de tirer en cas de tentative de franchissement illégal.
Arrivé à Berlin je découvre l'impressionnant réseau de transports en commun. Demander son chemin en allemand, c'est finalement très facile quand on est complètement perdu !
Je trouve un hôte hospitalityclub en plein coeur du quartier kreuzberg : Karina. D'emblée elle me propose soit le matelas à coté, soit son lit... Affamé de découvertes, je ne peux pas attendre de découvrir Berlin et je sors à minuit dans la ville. Je marche au hasard des rues, et comme il fait nuit et que je n'ai aucune idée d'ou aller, je ne vois pas grand chose, mais je m'imprègne de la ville. J'apprécie le contraste entre la campagne allemande que je viens de traverser et Berlin. Deux univers sans commune mesure.
13 : Berlin – Gdansk
Je me couche vers 2h, levé vers 11h et Karina se couche à 4h, levée à 9h. Je pars sans l'avoir rencontrée. Après avoir fait mon touriste de base et visité tous les lieux touristiques de la ville : Potsdammer Platz, TierGarten, Friedrich Strasse, Brandenburgen Tor, Bundestag et autres curiosités typiques, je reprends la route vers de nouvelles aventures, un peu tard dans la journée mais l'espoir est bon (meme si les jambes commencent à flancher un peu après cette éprouvante balade : Berlin c'est grand !).
Les noms de villages commencent à devenir moins germaniques, et plus slaves au fur et à mesure qu'on se rapproche de la frontière polonaise. Jusqu'à devenir franchement polonais, c'est le signe qu'on est passé en Pologne. Le douanier en uniforme qui contrôle les passeports est un indice de plus pour deviner qu'on passe la frontière.
Premier choc une fois la frontière passée, les boutiques de stations services de l'autoroute vendent presque exclusivement de la bière et des charcuteries. Je demande un sandwich, et je ne recois que de l'incompréhension de la part de la (jolie) caissière.
Deuxième choc, la nuit en l'espace de deux minutes sur une route de campagne (à moins que ce ne soit une autoroute, la différence est minime là bas, ils roulent de toute façon comme des dingues quelle que soit la route et son état de conservation), on croise un bar avec une enseigne Lipton – la fameuse marque de thé pour ceux qui suivent pas – puis une procession avec le curé en tête, les enfants de choeur et les fidèles qui suivent en chantant. Pas de doutes, ils sont catholiques ! Aucune difficulté à savoir pourquoi Djipitou feu notre pape bien aimé était polonais.
Je trouve une voiture qui va jusqu'à Gdansk, ce qui est assez loin de la frontière. Mon chauffeur polonais parle très bien allemand, ce qui me fait regretter de ne pas avoir bossé plus cette matière au lycée. Je prends mon premier cours de prononciation polonaise pour meubler les longues heures de voyage. Le Ł (pour ceux qui n'arrivent pas à lire ce caractère, c'est un L barré) se prononce comme un w dans wolf, la combinaison « sz » se prononce ch, et la combinaison « rz » se prononce j à l'instar du ż (z avec un point dessus).
Dans la voiture, je déploie la technique désormais habituelle : « allo Guillaume c'est Gab ! J'arrive à Gdansk g-d-a-n-s-k oui oui ça existe, ce soir a minuit, tu peux me trouver des numeros de téléphone sur hospitalityclub pour loger la bas ? » . Et pof, kein problem comme on dit la bas, je joins une certaine Kristina, qui est ravie même enthousiasmée de me recevoir, et même si c'est à minuit ça fait rien.
Arrivé dans le petit appartement dans une cité hlm datant de l'ère soviétique j'entre das un autre monde. Trois personnes : Kristina, Lucas et Malaïka (cf. le chapitre dédié).
Le lendemain nous allons tous visiter le château de Malbork, quelques kilomètres plus loin. Pique nique sur la pelouse, armures, murailles, japonais, médiévaleries, que du bonheur ! Une petite pause sans auto-stop au milieu de mon voyage, la vie est belle.
30 août 2007
L'Allemagne dispose d'un réseau autoroutier dense et très performant, ce qui permet aux auto-stoppeurs de couvrir des longues distances en peu de temps. Il paraît que ce réseau permet aussi à quelques riches fous du volant de faire la course autour du pays, la vitesse n'étant pas limitée. Effectivement il n'est pas rare de se faire doubler par des engins au moteur bruyant et aux couleurs tape-à-l'oeil à grande vitesse, parfois suivis de près par la police (certaines portions de l'autoroute sont limitées, ce qui leur fournit une excuse pour participer à la course).
Je vise Berlin en fin de journée, mais je n'atteins que Kässel, à mi-parcours ou se tient une exposition d'art contemporain internationale justement en ce moment : le Documenta. On y arrive tard et mes chauffeurs ne peuvent pas m'accueillir dans leur hotel.
Plus question d'appeler hospitalityclub.org à minuit. Après une bonne heure d'errance à la recherche infructeuse d'un endroit calme et libre de mecs bourrés du samedi soir pour planter ma tente, je décide de mettre en application ma deuxième magie : le pub irlandais.
Guidé par un phénomène de foire – un polonais qui ne boit pas ! - je trouve rapidement le pub. Ma stratégie est simple : si il y a de la musique live, je m'incruste avec mon violon et le tour est joué, mille rencontres se feront naturellement et la question du logement ne se posera même plus. Malheureusement tout ne se passe pas comme prévu, il y a bien de la musique live, mais c'est du blues braillard deux guitares et un chanteur qui reprennent des tubes. Pas de place pour moi la dedans. Mais l'espoir (et le ginseng) faisant vivre, je sirote ma Guinness en attendant que le destin fasse signe. Au bout d'un moment quand meme comme j'avais pas de nouvelles du destin et que le bar allait bientôt fermer, je me dirige vers les habitués du comptoir.
Dans les pubs irlandais tout autour du monde, les piliers de bars sont d'un genre différent de ceux qu'on trouve en France. Ils sont en général très sympathiques, parlent anglais – chose pratique quand on est dans un pays dont on ne connait pas la langue – et disposent d'un réseau d'amis assez étendus. Mais ceux-ci ne sont pas aussi accueillants que je ne l'imaginais, et je me retrouve avec un plan dessiné sur un coin de table pour aller planter ma tente.
Finalement la serveuse polonaise vient à mon secours et m'ouvre son toit après consultation de sa soeur qui vit aussi dessous. Elsbieta et Isabella... Elles m'assurent qu'en pologne elles ne font pas partie des plus belles, mais je les assure qu'en France si !
27 août 2007
L'étape du jour
Une des plus longues journées de voyage. Départ de Genève après les adieux à mon hôte David. D'abord en train jusqu'à Sion : le train longe le lac, et c'est une merveille à voir. Le lac à droite et les pentes abruptes mais verdoyantes et bucoliques de la campagne suisse à gauche.
Après le lac, le paysage devient montagneux. Sion est un village au fond d'une vallée, néanmoins doté d'un aéroport où bon nombre de jets privés viennent se poser. On est encore en suisse francophone. Un peu de stop me mène à travers la suisse allemande à Locarno en suisse italienne, où a lieu un festival international de cinéma. Grosses voitures, chaines en or, ya moyen de croiser des kakous... Mais poussé par l'energie du départ (le ginseng ?) je continue le stop, vers le nord cette fois ci.
Une voiture habitée par Klaudia, professeur de « house holding » dans une école m'emmene pour un looong voyage vers Winterthour en Suisse allemande, pile poil dans ma direction. Comme on arrive assez tard, il est inutile d'appeler hospitalityclub.org et elle me prete un bout de son jardin où je plante joyeusement ma tente. Chez eux (elle et son frère), il y a des toilettes à jet d'eau chaude integré pour se nettoyer les fesses sans se salir les mains !
26 août 2007
la partie francophone du voyage
7 : Nantes – Orléans
Premier jour, confiant, je tend ma première pancarte vers l'est. Je pense arriver en Allemagne ce soir ou demain. Aucun évenement marquant à signaler pendant le transport.
Arrivée à Orléans vers 19h, je fais marcher hospitalityclub.org et je trouve du premier coup un logement chez une charmante hote, Sylvie avec qui j'échange quelques propos puis dodo rapide, car le changement de rythme n'est pas facile à gérer et demain sera difficile !
8 : Orléans - Lyon
Tout se passe bien sur l'autoroute, de station service en aire de péage je file à toute allure vers l'est jusqu'au point de bifurcation de l'autoroute. Une partie va vers Dijon, à l'est, et l'autre se dirige vers le sud. Visant l'estonie, je marque en premier lieu « Dijon » sur mon panneau. Mais après une heure d'attente infructueuse et la pluie commençant à tomber, je me résigne à prendre une voiture vers Lyon et tant pis.
Arrivée à Lyon. Je profite de l'occasion pour rencontrer Gérard et Claude Faure qui m'accueillent à bras ouverts dans leur grande maison trop vide sans Jérome. Par un heureux hasard, ils vont en Suisse le lendemain, pile dans ma direction (l'est, toujours. Pour le nord on verra plus tard) et ils acceptent de me déposer à Genève sur leur route.
9 : Lyon – Genève
Dans la twingo jaune de Gérard et Claude je franchis ma première frontière en tant qu'auto stoppeur. J'en profite pour remarquer que quelque soit sa nationalité, un militaire a toujours l'air aussi stupide sous son uniforme.
Arrivé à Genève, enthousiaste je marche des heures en short et sandales sous la pluie chaude d'été. Banques, Rhône, grands hotels, lac, jet d'eau, magasins, restaurant... Je trouve de nouveau facilement un hote grâce à hospitalityclub.org : David. Il travaille dans une ONG qui, si j'ai bien compris forme des jeunes et favorise les échanges dans le but de créer des initiatives de la part de ces derniers dans le domaine de la communication.
Quoi qu'il en soit nous passons la soirée à discuter de politique, filles, Suisse, et philosophie pendant qu'il me fait découvrir la vie alternative (un peu en sous-régime estival) à travers un restaurant erythréen semi-clandestin et une zone de bars alternatifs malheureusement fermée. En rentrant, un peu pétés, on passe un long coup de fil à Nadège, je ne me rappelle plus ce qu'il s'est dit mais probablement de la philosophie de haut niveau (au moins haut comme notre degré éthylique)
aout 2007

7 : Nantes – Orléans
8 : Orléans - Lyon
9 : Lyon – Genève
10 : Genève – Sion – Locarno – Winterthur
11 : Winterthur - Kassel
12 : Kassel - Berlin
13 : Berlin - Gdansk
15 : Gdansk - Gizycko
16 : Gizycko - Marijampol
17 : Marijampole - Grajewo
18 : Grajewo - Varsovie
19 : Varsovie - Berlin
20 : Berlin – Francfort
21 : Francfort - Strasbourg
24 : Strasbourg – Nantes
more to come...
19 août 2007
Fwd: Voyages
grande question ! marion, kinga, kristina, malaika, pawel et les
autres. j'ai vu l'amour de près. toutes les sortes, toutes les
intensités. et je me rends compte maintenant, une fois de plus grâce à
mes amis, que le mien, d'amour, était déjà la avec eux. il à quand
même fallu aller jusqu'à marijampole (marie-jean-paul pour les
intimes) pour le voir ! je reviens.
06 août 2007
08 juillet 2007
04 juillet 2007
15 juin 2007
05 juin 2007
29 mai 2007
06 mai 2007
05 mai 2007
18 avril 2007
13 avril 2007
Raaaaaah
"- Ah ben nan la visite médicale ca se fait chez nous [air geignard et profondément borné de celle qui fait son boulot par vocation d'emmerdeuse]
- Mais je vous dis que je peux PAS venir chez vous, ya pas de bus et c'est loin de tout et j'ai pas de voiture !
- Ah ben nan hein vraiment je peux pas vous la faire passer pres de chez vous, ca doit être fait ici hein, vraiment [scritch scritch d'ongles en train de se faire curer par un trombonne]"
"- Bonjour, contrôle des titres de transport s'il vous plait"
"Pour savoir pourquoi on va plus vous donner de sous, merci de nous appeler du lundi au mardi entre quatorze heures quarante cinq et trois heures moins le quart. Pour les menaces sur nos employés, lettres anonymes de dénonciation, immolation par le feu, merci de taper la touche étoile de votre téléphone"
Les jurons prennent beaucoup plus de force quand ils sont dits en arabe.
Manque de pot je sais pas parler arabe.
Par contre le TOUBA, ça je maîtrise !
Voyons, Hum...
RAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH !
TTTTTTTTTTTTTTTTOUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUBAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA !
$@ЪŊ⅞ĦJ#!øþĸłµð¶ŧ←⅜↓ß*%ðħÆ¢®¡⅛£$æ~¢ł|¦⅝™±°¿§Ŧ¥↑ıØÞ&ðŋđŁº©÷ de voix synthétique de meeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeerde ! Je veux parler à un humain ! je veux mes sous ! J'exiiiiiiiste, administration de mes deux ! Il y a quelqu'un au numero que vous demandez ! Je ne suis pas une machine ! Arretez de me faire chieeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeeer !
merci de votre attention.
09 avril 2007
le coït du lion,
Anarchie, Givenchy ! (Medhi)
Tito, Kenzo ! (Erik)
Karl Fricket
MERCI !
en écoute : Ar Plac'h Inferniet, gwerz diabolique par la kreizh breizh akademi deuxieme orchestre.
A la voix, Faustine qu'on dirait la voix de Marthe Vassalo selon Flo mais Nolwenn Le Buhé selon Flo (l'autre), et Simone de la kba1 venue lui préter main forte pour la répétition...
20 mars 2007
18 mars 2007
14 mars 2007
12 mars 2007
11 mars 2007
09 mars 2007
08 mars 2007
05 mars 2007
04 mars 2007
26 février 2007
Quelle aventure passée, présente et surtout future !
Un petit aperçu de l'orchestre...
Composition : violon, alto, guitare, laoud, mandoline, harpe, flute, re-flute, chanteuse, re-chanteuse, percussions (la c'est un cajon) et contrebasse. On entend pas tout le monde sur l'enregistrement mais c'etait pas le but. Si ya des fausses notes, c'est fait d'expres !
Sinon pub pour les copains :
Esquisse sort un nouveau CD bientot (j'en ai écouté des bouts, ca déchire grave !) Soutenez les, demandez votre bon de souscription !
Bonus !
des langonnetois sont passés pousser la chansonnette, avec erik à la réponse ca pouvait que marcher !
16 février 2007
06 février 2007
29 janvier 2007
25 janvier 2007
Dialogues
Éric : Non, il vaut mieux garder l'effet de surprise pour quand tout sera prêt...
Gabriel (23 ans) : tu vois, je fais aussi du jazz avec mon violon
Mélanie (8 ans) : du jazz avec un violon ? c'est comme les bonnes soeurs qui jouent de la guitare électrique !
19 janvier 2007
17 janvier 2007
Mélodie :
Marche :
Rond de Saint Vincent sur Oust :
La meme que l'autre fois, mais on a rajouté Flore par dessus... Hu hu hu !
Merci de ne PAS cliquer sur play sur la ligne suivante !
On recherche des dates donc si jamais vous etes intéressés par notre groupe (la formule ou ya que Flore qui chante) n'hésitez pas à me contacter :p
Retrouvez nous aussi sur myspace ! (c'est la mode du moment...) http://www.myspace.com/lesbezousdechataignes
11 janvier 2007
Que fait-on dans un studio a trois heures du matin quand on en a marre de refaire la même prise pour la quinzieme fois et qu'on fait toujours LE pain au MÊME moment et que les nerfs du musicien et du technicien sont sur le point de lâcher ?
on danse la carioca...
sinon petite pub totalement gratuite : Popo sera la le 16 janvier 2007 (mardi prochain)